Le cercle

Liberté chérie

Etre freelance c’est avant tout être libre.
Et la liberté en tant que développeur·se freelance, c’est de pouvoir gérer ton temps, ton travail, choisir tes projets, tester et appliquer tes propres méthodes.
Etre libre de choisir si tu continues ou pas une mission.

Bon ça c’est en théorie.

Alors rassure-toi oui, c’est possible.
Par contre on nous fait croire depuis tout petit que la liberté est un droit, un dû.
C’est même dans nos valeurs républicaines.
Mais en vérité, ça se mérite.

Tu peux être libre sur le papier, mais pas dans ta tête.
Si tu as mal au ventre quand tu penses à ta fin de mission, ou que tu t’inquiètes parce que tu ne sais pas si la mission en cours va être prolongée, c’est qu’il y a un souci.

Du coup j’en vois pas mal qui surchargent leur emploi du temps et prennent tous les clients qui tapent à la porte. Je sais ce que c’est la peur de manquer qui te prend les tripes.
On se dit souvent : prenons pendant que ça vient, on verra bien plus tard.
Sauf que ça a un double effet pervers :
D’abord tu risques de regretter d’avoir accepté de travailler avec certains clients. Tu sais, ce client pénible qui te prend la tête. Ou celui qui te paie mal. Bref celui que tu aurais aimé laissé à la concurrence.
Ensuite parce que pendant que tu bourrines de la production, tu ne prends pas de recul sur ton projet (le tien). Tu finis comme le hamster dans sa roue qui n’a qu’une option : courir.
Mais ce n’est pas une fatalité.

Il y a ceux qui s’inquiètent de leur prochaine mission et ceux qui savent qu’ils rebondiront toujours.

Que ce soit par choix ou par nécessité, cette liberté n’est pas toujours facile à porter. Il faut définir tes propres règles du jeu, ton cadre de travail, savoir poser tes limites. Fini le patron qui fait ça pour toi. Maintenant, le patron, c’est toi !

Et tout ça tout en servant tes clients, leur apportant ton énergie et ton expertise.
Quand tout va bien, c’est cool. Mais dès que les nuages gris se pointent, c’est plus dur : impayés, relations conflictuelles, viré du jour au lendemain.

Il y a ceux qui se le mangent dans les dents et ceux qui encaissent et vont de l’avant.

Ton réseau privé

Plus de la moitié des développeurs avec qui je travaille en coaching sont freelance.
Ca m’a donné envie d’en savoir plus… Et j’en ai interrogé des tonnes.
Et tu sais ce qui m’a frappé : il y a ceux qui étaient seuls et ceux qui avaient un réseau.
La différence est juste énorme.

Ceux qui n’ont pas de réseau paraissent seuls, isolés, à la merci des ESN pour trouver du travail et acceptent des TJM en parfois en dessous de leur valeur.
Freelance dans ces conditions, c’est pire que le salariat… Tu n’as ni protection, ni liberté réelle.

Et puis il y a ceux qui ont su tisser un réseau. Ceux là sont plein d’énergie, même dans la galère. Ils sont toujours occupés et surfent sur une dynamique stimulante.

Le truc, c’est qu’en tant que freelance, tu es aussi entrepreneur de ta petite entreprise à toi-même. Tu dois donc maîtriser tout un tas de compétences en plus de ta compétence métier pour laquelle tes clients te paient : il faut gérer du commercial pour vendre, du marketing pour trouver de bonnes missions, affûter ta technique pour rester à la page, tout en gérant ton administratif et j’en passe.
Difficile d’acquérir toutes ces compétences.

Là encore il y a ceux qui subissent, et ceux qui le prennent à bras le corps.

Et c’est là que l’échange en groupe prend tout son sens.
C’est pour tout ça que j’ai lancé le cercle des développeurs·es freelances.
Oui je sais ça fait un peu cercle des poètes disparus…

Le but est de grandir ensemble dans un groupe de confiance en s’appuyant sur les meilleurs experts pour te faire progresser.

Percer le plafond de verre

On en est à la deuxième année du programme et j’ai demandé aux membres du premier cercle ce qu’il leur avait apporté, et voici ce qu’ils m’ont dit :

Le premier point qui ressort, c’est que le Cercle permet de prendre du recul. Alors je sais, c’est pas très vendeur dit comme ça. Mais en fait, prendre du recul est juste essentiel pour travailler sur ton projet entrepreneurial.
Si tu vois ta vie de freelance comme un simple job mieux payé, le cercle n’est probablement pas fait pour toi.
Par contre si tu veux aller plus loin que le chemin que d’autres ont tracé pour toi et percer le plafond de verre de la régie à temps plein, tu verras que prendre du recul est juste essentiel.

Le rythme des rencontres t’impose de prendre régulièrement un moment hors de ton quotidien. Ce sont des moments riches d’introspection, aidés par le regard bienveillant des pairs.
Certaines rencontres te feront l’effet d’une claque, ou d’un bon coup de pied aux fesses : parfois, c’est ce dont tu auras besoin pour te remettre les idées à l’endroit et passer à l’action.
Car c’est dans ces moments où tu travailles sur ton projet, et non pas dans ton projet, que tu pourras construire une réflexion stratégique pour savoir où tu vas.

Le fait de travailler en groupe a un double effet kisskool :
D’abord tu es entre freelances qui partagent la même envie de progresser et d’aller plus loin. Se sentir entouré de pairs bienveillants qui partagent les mêmes problématiques est rassurant.
On est tous dev freelance et on sait qu’on peut aborder ce qui nous tracasse sans être jugés. L’air de rien, ça aide souvent à lutter contre le syndrome de l’imposteur.
Et en plus, on s’enrichit mutuellement de nos partages et nos expériences : que ce soit pendant les sessions ou à travers du groupe slack, on partage sur nos galères et nos succès.
Quand on rencontre un souci, le groupe est souvent riche de solutions. Et les succès permettent de se stimuler mutuellement.
Bref, tu gagnes beaucoup, mais vraiment beaucoup, de temps et d’argent.

D’ailleurs, à propos d’argent, plus d’un tiers des membres ont fait sauter des verrous psychologiques et ont négocié une augmentation, parfois sérieuse, de son TJM.
Alors je pourrais en faire un gros argument marketing, car en général l’ordre de grandeurs est l’équivalent de plusieurs années d’adhésion au cercle.
Mais j’évite car la vraie valeur est ailleurs : plutôt que gagner plus d’argent, la plupart en ont profité pour s’acheter du temps.

Et ça, ça n’a pas de prix.

C’est une vraie boucle vertueuse qui s’enclenche : en négociant mieux ton TJM, tu peux plus facilement libérer du temps pour réfléchir à ton projet, te former, te positionner sur le marché, ce qui te permet de négocier un meilleur TJM…

Alors augmenter le TJM, c’est bien. Mais il y a mieux : le cercle permet de rencontrer des intervenants de qualité qui vont t’aider à progresser sur des sujets que tu n’aurais même pas imaginé être si importants, ou même parfois possibles.
Certains sujets comme la communication interpersonnelle en ont bousculé plus d’un !
Les outils donnés lors de ces sessions sont de véritables avantages compétitifs sur le marché.
D’autres viennent carrément remettre en cause certaines croyances structurantes : c’est justement ce dont on a besoin pour dépasser son plafond de verre.

Enfin, et non des moindres, tout ça apporte beaucoup de sérénité : tu passes moins de temps à courir, et plus à réfléchir. La prise de recul donne la bonne distance pour poser les choses et fermer l’ordinateur serein|e chaque soir.
Et tout ça a même un impact dans la vie personnelle : en même temps c’est logique, quand tu es mieux dans ton taff, plus détendu et rempli, ça améliore forcément tes relations personnelles et la famille sent la différence.

Le cercle

Un cercle, c’est un groupe de pairs qui se rencontre 8×2 demi-journée dans l’année, soit une rencontre toutes les 2 à 3 semaines en dehors de périodes de vacances scolaires.

Lors de ces rencontres, on travaille soit sur l’acquisition de compétences avec les experts extérieurs, soit sur son projet de freelance en cercle fermé.

L’année dernière était l’année de lancement et il n’y avait qu’un cercle. Cette année, le but est de lancer un second cercle.
Cette évolution permettra de créer de nouvelles rencontres et des moments encore plus riches intra-cercle et inter-cercle.

Le programme des rencontres est construit avec les membres de chaque cercle en lien avec leurs objectifs personnels et leurs ambitions.

A titre d’exemple voici le programme construit avec le premier cercle, pour la première année :
– Travailler son personal branding
– Comment prospecter efficacement
– Apprendre à développer son réseau
– Les bases d’une communication interpersonnelle efficace
– Accompagner son client à changer
– Améliorer sa gestion du temps
– Clean Architecture
– Les bases du DDD

Chaque année, le programme sera renouvelé avec le groupe pour suivre l’évolution de ses besoins.
L’idée est que tu puisses rester dans ton cercle aussi longtemps que cela te sera utile et enrichissant. D’ailleurs, les membres du premier cercle ont déjà presque tous renouvelé leur adhésion pour l’année prochaine.

Faire partie d’un groupe, c’est bien sûr du soutien les uns pour les autres, mais c’est aussi apprendre à vivre ensemble.
Que ce soit pour se dire les choses difficiles ou prendre des décisions importantes, le cercle est aussi là pour apprendre !
Et oui, la bienveillance, ça se travaille…

Concernant le prix, l’adhésion permet de rémunérer l’animateur du groupe, les experts des différentes thématiques et de faire vivre le cercle en investissant dans différents projets.
L’adhésion est de 320€ HT par mois pendant 12 mois (-10% pour un paiement en une fois).

Si tu as envie de nous rejoindre tu peux prendre rendez-vous ici.

Témoignages

Nicolas Fedou

« Je sais faire le métier, produire, apporter des conseils et de la valeur, mais le métier de Freelance demande de gérer toutes les facettes d’une entreprise (micro ou unipersonelle).

Dans les réseaux de dev et de freelance, j’ai trouvé de l’entraide, du partage de missions et les réponses à des questions ponctuelles.
Le cercle est le seul à organiser une équipe de freelance et des interventions externes pour se mettre au point sur la gestion de carrière d’un freelance.

Ça me permet de me confirmer et rassurer sur les sujets que j’avais bien gérés et de me corriger sur les points que j’avais ratés, voire carrément pas vus!
J’ai enfin un groupe où je peux creuser mes sujets d’entrepreneurs depuis le début !
Merci Benoît pour ton cercle 😊 »

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/nicolas-fedou/

Lionel Jamal

« Développeur front-end depuis plus de 10 ans, freelance depuis 2016, grâce au cercle j’ai pu faire le point sur ma carrière de freelance et je sais maintenant quoi essayer dans les prochains mois pour la faire avancer stratégiquement par rapport à mes envies du moment. »

Linkedin : https://www.linkedin.com/in/lionel-jamal/

Cédric Hulin

« Qui n’a jamais eu peur de se lancer dans un projet entrepreneurial, se lancer sur un side project, changer de statut, créer du contenu et se lancer dans ce qu’on aime et non rester dans ce qu’on attend de nous.

Il y a plusieurs peurs qui nous bloquent comme, par exemple, la peur du manque de légitimité, la peur de la critique, la peur du flop, la peur d’être ignoré ou la peur d’être exposé.

[•••]

Ça fait un moment que j’ai peur de me lancer, ce qui m’a débloqué et ce qui a fait disparaître cette boule au ventre, c’est un petit groupe de personnes bienveillantes.

Ce groupe s’appelle le Cercle.

C’est une initiative créée par Benoit Gantaume mêlant entre-aide entrepreneuriale et formation par de super intervenants. Notre groupe est composé de plein de profils différents et cela enrichit énormément l’expérience. »

Le post d’origine : https://www.linkedin.com/posts/cedrichulin_entrepreneur-motivation-activity-6911599735963328512-Z-2d/

François Dupire

« Je suis développeur depuis près de 8 ans maintenant, et cela fait un peu plus d’un an que j’ai décidé de me lancer en tant que freelance.
Au début, je m’attendais à ce que ce soit une forme de salariat améliorée : mieux payé, plus de temps libre, etc.
Au final, ce n’est pas toujours si simple.
Gérer l’administratif prends du temps. Lorsqu’on prend congé ou que l’on tombe malade, on n’est plus payé (on le sait en démarrant bien sûr, mais ça ne devient concret que lorsqu’on établit les factures pour des mois plus maigres et qu’il faut assumer nos dépenses).

Il y a donc du chemin à faire pour arriver à ce stade de confort tant désiré.
Le cercle, ce sont des développeurs freelance, comme moi, qui rencontrent – ou ont rencontrés – des problématiques similaires.
On peut donc s’entre-aider pour avancer dans la bonne direction et améliorer notre gestion de la vie de freelance.

Quelques mois après mon adhésion au cercle, j’ai augmenté mon TJM de 200€ (plus de 40k€ à l’année). Là où avant, j’aurais timidement essayé de l’augmenter de 50€. Simplement, le cercle m’a fait prendre conscience de ma valeur sur le marché et que le pire qu’il pouvait arriver était un refus. Ainsi, en à peine deux mois, j’avais ainsi rentabilisé mon adhésion au cercle (le forfait et le temps non facturable dédié aux séances bi-mensuelles).
Je pense maintenant avoir atteint cette étape de salariat amélioré. Je fais des horaires confortables et je suis payé correctement.

Mais on n’est pas obligés de s’arrêter là : plusieurs choix s’offrent à nous en tant qu’indépendant.
– On peut essayer de se construire des revenus passifs afin de ne plus dépendre de notre métier pour vivre (et là on peut se permettre de choisir les missions que l’on veut, même si elles paient moins, ou simplement de travailler moins – voire plus du tout).
– On peut également envisager d’autres façons de délivrer de la valeur : non pas en prestant à la journée, mais en proposant un service à un tarif établit (formations, forfait de consultance, etc.)
Là aussi, le cercle est d’une grande aide. On est plusieurs à partager les mêmes désirs cela nous permet de chercher des solutions ensemble !

En résumé, je dirais que le cercle m’a ouvert l’esprit sur le freelancing et l’entrepreunariat et m’a fait envisager mon avenir différemment. J’évalue de nouvelles opportunités et je précise le chemin pour atteindre les objectifs que je m’étais fixés en devenant indépendant. »

Profil linkedin : https://www.linkedin.com/in/francoisdupire/

Kajan Siva

Kajan est un des membres du premier cercle. Il a relevé le défi brique, un challenge centré sur la création de contenu, et il a parfois parlé du cercle dans ses publications. Autant d’occasions de mieux comprendre ce qu’on y fait !

« Je suis en freelance depuis plus de sept ans maintenant.
J’ai déjà fait un long chemin, mais j’ai l’impression d’avoir atteint un plateau depuis quelque temps.
Et je pense avoir enfin trouvé une méthode pour m’en sortir :

Intégrer un cercle de freelance pour échanger sur nos problématiques respectives.

J’ai rencontré plein de freelances dans mon parcours, mais je n’avais jamais eu l’occasion d’avoir des discussions poussées sur ces sujets.

C’est pourquoi j’ai sauté sur l’occasion quand j’ai vu Benoit Gantaume commencer « Le Cercle ».
On a commencé à travailler ensemble depuis début septembre avec 7 autres freelances. Et l’exercice me plaît beaucoup.

On alterne entre des matinées avec un intervenant et des matinées de travail avec le groupe.

L’avantage principal est que ça me pousse vraiment à réfléchir. Et à m’ouvrir les yeux sur différentes possibilités auxquels je n’aurais pas pensé, seul dans mon coin. »

Le post d’origine : https://www.linkedin.com/posts/kajan-siva_je-suis-en-freelance-depuis-plus-de-sept-activity-6856182480865673217-n7se

« Le branding personnel est indispensable, même pour les développeurs. Et encore plus, si tu es freelance.
Romain Limmois t’explique pourquoi dans un épisode d’Artisan Développeur .
Voici un petit résumé de ce que j’y ai appris. »

La suite : https://www.linkedin.com/posts/kajan-siva_defibriques-activity-6907101436606341120-kh1K

« J’ai longtemps pensé que « se faire un réseau » impliquait forcément de participer à des événements de réseautage. Avec un but d’échanger un maximum de cartes de visite 😅.

Mais en fait… pas du tout. »

La suite : https://www.linkedin.com/posts/kajan-siva_defibriques-activity-6900402129161338880-iFyu

Tu nous rejoins ?

A ce stade, si tu as envie de nous rejoindre, ou simplement en savoir encore plus, prend rendez-vous ici.
Cela n’engage à rien, on prend 30 mins pour répondre à tes questions et voir si c’est bien fait pour toi.
Alors si tu veux :
– Durer en tant que développeur freelance
– Percer le plafond de verre de la régie
– Dormir tranquille quand une mission se termine
– Augmenter ton TJM
– Pousser ton expertise technique
– Varier tes sources de revenus

Rejoins le cercle !